Philippe Ferretti, le savoir-faire du céramiste.

J’ai eu la chance d’apprendre à tourner à l’école des Beaux Arts de Bourges sous le regard bienveillant de Monsieur et Madame Lerat.
J’avais 18 ans.

Vers l’âge de 40 ans, j’ai repris la poterie après plusieurs voyages en Afrique.
Les cuissons primitives m’ont alors fasciné.
Je suis revenu en France imprégné, peut-être inconsciemment de la culture Africaine.

C’est là que j’ai rencontré Camille Virot. Je me suis senti très proche et très touché par son travail en lien avec l’Afrique.

J’ai donc commencé la poterie par le Raku puis les terres enfumées.

Ma recherche a toujours été tendue principalement vers les émaux mat. Pour autant, quelques émaux brillants me sont nécessaires.